Don't. Call. Me. JIMMY !!!!!!!!!!!!!

 

 

James Crow

 

Jim.

  «Le premier qui m'appelle Jimmy, je lui pète la gueule. Clair ?»

  32 ans (12.04.81) ♦ Humain ♦ En couple et futur papa ♦ Equipe d'encadrement

  En quelques mots
  ♦ Casse-cou – Rieur – Doux – Calme – Courageux ♦

  Métier
  ♦ Vétérinaire - Professeur: soins animalier-communication animale  ♦

 

 

♦ Vos Pouvoirs :
-Télépathie
-Communication animale: il peut parler et comprendre n'importe quel langage animal.
-Contrôle des émotions: il peut contrôler ses émotions et celles d'autres êtres vivants, quelle que soit leur espèce.
 

 

 

♦ Description générale :
James est le plus souvent d’un calme olympien quelque soit la situation, aussi désespérée soit elle. Il est doux et gentil, plutôt gaffeur et à un côté aventureux qui lui attire assez souvent des ennuis. Mais jusqu’ici, s’il a réussi à en réchapper, c’est surtout grâce à Li-Fang. L’infirmière prodige est d’ailleurs maintenant devenue sa compagne et la mère de son futur enfant…. Après plusieurs années passées à tenter de la séduire ! Il n’a pas peur de prendre des risques, bien au contraire, il se jette à corps perdu dans le danger, toujours avec le sourire et si possible la réplique humoristique qui va avec. Il est du genre à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. C’est un ami fidèle et un compagnon débordant d’amour et de dévotion envers Li-Fang.

Il utilise constamment sa télépathie et n’hésite pas à abuser de ses autres pouvoirs dès que la situation l’exige.

Il a pris le rôle de vétérinaire un peu par hasard et a appris le métier  sur le tas. Il lui arrive de demander conseil à Li-Fang d’ailleurs, lorsqu’il se sent vraiment perdu.
Il base ses cours sur les travaux pratiques. Il estime que c’est le meilleur moyen d’apprendre et est assez paternel avec ses élèves. Particulièrement avec Logan, un jeune Loup Garou qui l’aide souvent lors de ses balades dans le parc et des recensements des créatures magiques.

Si James pouvait passer sa vie dehors, il ne s’en priverait pas. Il n’est pas attaché au confort, c’est un solitaire mais il n’en est pas pour autant asocial ou taciturne, bien au contraire ! d’où le fait, il porte le plus souvent une tenue confortable et pratique qui lui permet de se fondre dans le décor, avec des couleur plutôt pastelles et claires, du beige, du vert, du kaki, du marron…

Il possède un chien, un berger allemand nommé Hawk. Il l’a recueilli tout petit, l’a dressé pour qu’il obéisse au doigt et à l’oeil et ne se sépare pratiquement jamais de lui. D’ailleurs, voir le chien sans le maitre est souvent très très mauvais signe.

C’est un cavalier hors pair, un excellent  épéiste, et il sert parfois de psychologue à son ami Olief qu’il connait depuis une bonne dizaine d’années.

Suite à un séjour traumatisant chez les Invecteurs durant son enfance, il a développé une violente phobie des aiguilles et des seringues. Il entre d’ailleurs dans une colère noire, presque une rage sauvage, dès que quelqu’un l’appelle Jim ou Jimmy. Ca évoque trop de mauvais souvenirs, des souvenirs qu’il a tout fait pour oublier et qui se sont rappelés à lui le jour où le directeur de l’école a appris qu’une Unité de Capture était en route pour l’Académie. Se retrouver face à ses tortionnaires a été une épreuve dont il a failli ne pas ressortir indemne. Il en fait d’ailleurs encore des cauchemars, qu’il soit endormi ou réveillé, des crises pendant lesquelles il a des flash proprement terrorisants qui annihilent toutes capacités de réflexion et de réaction.

Il est l’un des fondateurs de l’Académie mais s’est de suite désisté face au rôle de directeur, considérant qu’Olief s’en sortirait mieux que lui et pourrait également progresser en maturité.
 

 

 

♦ Histoire :
James est né au beau milieu d’une forêt. Sa mère était en pleine randonnée avec son père lorsqu’elle a ressentie les premières contractions. Elle s’est d’abord demandé ce que ça pouvait être, puisqu’aux dernières nouvelles, elle n’était pas indisposée et était encore moins enceinte. Puis elle a vite constaté que finalement, elle attendait bien un enfant lorsqu’elle a accouché en catastrophe mais très rapidement d’un petit garçon. Les secours ont vite été prévenus et la petite famille emmenée à l’hopital par hélicoptère, mais la mère et l’enfant étaient en parfaite santé.
James passa cinq années tranquilles à grandir au milieu des siens, dans une petite maison perdue au milieu des bois, à cinq kilomètres du village le plus proche. C’est cet isolement qui couta plus ou moins son enfance à James. Et peut-être aussi la vie de ses parents, mais il n’en est toujours pas sûr.
Il avait développé ses pouvoirs très tôt, alors qu’il jouait derrière la maison. Il était tombé sur un lapereau perdu. Celui-ci lui a demandé s’il connaissait le chemin de la maison. James, encore incapable de parler malgré ses deux ans bien avancé, lui avait indiqué mentalement le seul endroit où il avait déjà vu grouiller des lapins, à savoir, un terrier non loin d’un petit ruisseau qui passait à une cinquantaine de mètres de la maison. Le jour où la famille lapinou est venue remercier le petit garçon, monsieur et madame Crow ont été surpris de constater les… aptitudes étonnantes de leur fils. Loin de s’inquiéter –eux aussi possédaient des pouvoirs qui leur permettaient d’interréagir avec les animaux- ils en furent très heureux, et l’aidèrent à comprendre et à maitriser ses dons.
Jusqu’à cette nuit de terreur qui avait suivi de peu l’anniversaire de ses cinq ans. Les Crow avaient été dénoncés aux Invecteurs par un membre du village. Leur maison fut prise d’assaut par l’une des meilleures unités de capture. S’en suivit une bataille acharnée entre la famille, les animaux des environs qui étaient très attaché à eux, et les soldats de l’organisation gouvernementale secrète. James fut emmené par une louve loin de la maison. Malheureusement, le petit ne voulait pas lacher prise et tentaient par tous les moyen de fuir les crocs de l’animal pour rejoindre ses parents. Malgré les hurlements. Malgré les coups de feu. Malgré les aboiements des chiens qu’on envoyait sur sa piste. Ils furent rattrapés deux jours plus tard, la meute des loups fut décimée, et James emmené par les Invecteurs jusqu’à leur base.
S’en suivit dix ans de cauchemars permanents, de tortures, d’expériences, de hurlements, de souffrances, de laboratoires, d’aiguilles, de terreurs, d’horreurs, et d’humiliations. Par trois fois, James tenta de s’enfuir sans succès, en utilisant toutes les issues possibles et imaginables. La première échoua lorsqu’il se perdit dans la neige, pas loin de la base. Il du supplier ses tortionnaires de le ramener, de ne pas le laisser mourir. Lors de la deuxième, il se fit pincer alors qu’il tentait de fuir par les conduits d’aération. Il faillit y laisser la vie à la troisième, touché par une balle en pleine poitrine, alors qu’il pataugeait dans les égouts de la base. James avait alors quatorze ans, et il avait par la suite abandonné tout espoir de quitter sa cellule ou les laboratoires qui lui servaient de foyers. Pourtant, un an plus tard, le docteur Yueh qui avait bataillé pour le maintenir en vie l’année précédente, réussit à le faire sortir du cauchemar. L’adolescent prit ses jambes à son cou sans jamais se retourner jusqu’à temps qu’il s’écroule d’épuisement et d’inanition, une bonne quinzaine de jours plus tard.
James se réveilla dans un hopital sans aucuns souvenirs de cette période sombre. Son histoire s’arretait au jour de ses cinq ans, et reprenait à l’instant, avec son réveil. La première chose qu’il fit après avoir ouvert les yeux fut de hurler et d’essayer avec tant de bien que de mal de se débarrasser du cathéter qu’il avait dans son bras, complètement paniqué. Lorsqu’il se leva pour fuir, il s’effondra sur le sol, inconscient. Son second réveil fut un peu moins catastrophique. Premièrement, il était complètement shooté par les calmants. Deuxièmement, la présence de la police indiquait qu’il n’était plus chez… chez… chez qui d’ailleurs ? Bref, qu’il n’était plus perdu. Mais en apercevant à nouveau le cathéter dans son bras, par hasard, il se remit à paniquer. Les médecins et psychologues diagnostiquèrent immédiatemment une phobie aigue à tout ce qui touchait aux aiguilles, en rapport avec des soins médicaux la plupart du temps.
Les trois années qui suivirent furent extrêmement difficiles pour lui. Il fut envoyé dans des familles d’accueil, mais il ne restait jamais bien longtemps dans la même. Il s’y sentait mal, il n’était pas chez lui. Il n’était pas dans son élément. Et puis surtout…. Il n’était personne. Il connaissait juste son nom, son age, et savait qu’il possédait des pouvoirs. Mais c’était tout. Lorsqu’à dix-huit ans il pu enfin vivre seul, il partit instinctivement habiter dans la foret. Il s’y sentait mieux, presque entier. Il se construisit une petite cabane, qui ne comportait qu’une seule et unique pièce.
A vingt-deux ans, il fit une rencontre qui changea sa vie. Celle d’Olief Lockart. Un garçon aussi perdu que lui.
James avait pris l’habitude d’être sollicité de différentes manières par certains animaux qui habitaient la même foret que lui. C’était parfois étrange d’être réveillé en pleine nuit par une biche qui avait besoin qu’on soigne son petit blessé à la patte… Mais le jeune homme avait fini par s’y habituer, et petit à petit, il savait de mieux en mieux comment soigner ses amis. Il devenait une sorte de vétérinaire.
Mais cette nuit là, ce ne fut pas un animal qui frappa chez lui. Lorsque James ouvrit la porte, il se retrouva face à un jeune homme à peine plus agé que lui. L’inconnu n’eut pas le temps de dire quoique ce soit qu’il s’écroula dans ses bras, inconscient, brulant de fièvre et blessé. James réussit à le tirer d’affaire aux bout de trois longs jours à le veiller. Les deux hommes se lièrent rapidement. Olief fut le premier à devoiler ses pouvoirs. James, alors complètement confiant, fit de même. Heureux de constater qu’ils n’étaient pas les seuls à posseder de tels dons, les deux amis décidèrent d’un commun accord de se mettre en route, à la recherche d’autres êtres à pouvoir et d’un lieu où ils pourraient habiter sans être inquiéter.
C’est lors de leur voyage que naquit l’idée de l’Académie du Crepuscule, un lieu pour les gens comme eux et les creatures magiques. Un lieu où ils vivraient tous en hamonie, loin des gens « normaux ».
C’est également dans cette periode là que James fut sujet à sa première crise. Olief et lui s’étaient installé au bord d’une rivière pour se rafraîchir un peu après leur longues heures de marche. Sans crier gare, sans qu’aucun signe précurseur ne se manifeste, James fut envahi par des flashes cauchemardesques incompréhensibles. Lorsqu’il reprit ses esprits, il se trouvait dans les bras de son ami, recroquevillé en position fœtale, tremblant et pleurant doucement en gémissant. Il mit longtemps à reprendre totalement son sang-froid, et lorsque ce fut enfin fait, la terreur laissa la place à l’incompréhension. Au fil des années, il s’habitua à subir ce genre de chose à n’importe quel moment de la journée, avec plus ou moins de violence.
Au bout de longues années d’errance, ils finirent par trouver un château abandonné, perdu au milieu de nulle part. Quoiqu’abandonné, c’était vite dit. Ils faillirent se faire arracher les yeux par une furie haineuse du nom de Rin Nekami. Mais le fantome s’adoucit rapidement en constatant que ni Olief ni James ne lui voulait de mal… Et qu’ils avaient fini par se perdre. Tant sur le plan moral que physique. Ils sont contentèrent tout d’abord de cohabiter tous les trois, puis, d’un commun accord, aménagèrent le château en école.
James décida de laisser les rênes à Olief et de se contenter de l’épauler de temps à autres pour certaines décisions, et de servir de vétérinaire te de professeur. Puis les premiers membres de l’Académie du Crépuscule arrivèrent. C’est à ce moment là qu’il rencontra Li-Fang. Tout le monde coulait des jours heureux…
Jusqu’à ce matin un peu brumeux où l’un des élèves de l’Académie annonça l’arrivé des Invecteurs. Ce nom jusqu’ici inconnu de tous résonna comme une sentence de mort aux oreilles de James qui endura la crise la plus violente qu’il ait connu de toute sa vie. Simultanément, ses souvenirs effacés lui revinrent en mémoires. La capture, les expériences, les tortures, les laboratoires, tout, jusqu’aux moindres petits détails, comme l’eau de toilette de ses tortionnaires. Avec une netteté et une précision impressionante, presque irréelle. Une précision dont il se serait bien passé. Sous le choc, il aida malgré tout à organiser la défense de l’Académie.
Exceptionnellement, tout le monde prit part à la bataille. Elèves, professeurs, directeurs, créatures magiques… Tous sans exception. James fit face à ses bourreaux, la peur au ventre. Les membres de l’Académie subirent de terribles pertes, mais heureusement pour lui, Li-Fange et l’enfant qu’elle attendait furent épargné. Olief également, bien que moralement au plus bas.
Jusqu’ici, James n’a pas refait de crise aussi violente que le jour de l'annonce de l'arrivée des Invecteurs, mais il se bat intérieurement tous les jours contre les souvenirs atroces qui peuvent envahir son esprit à tout moment. S’il n’a encore jamais cherché à savoir ce qui était arrivé à ses parents, c’est par peur de découvrir qu’ils étaient morts.


 

  Inspiré des oeuvres de
  © Halloween sur Never-Utopia
  &
  lizzou – icons by dearmayer
 

 

Mon amour !!!!!!!!!!! <3 <3 <3 <3

Arrête de te mettre en danger sinon je vais finir par te laisser creuver.....
Et arrête d'en rire une fois que je t'ai guérit et que je t'engueule !!!!!!!!!!!

C'est pas moi qui cherche les ennuis, ce sont eux qui me trouvent...... T'oserais pas hein ? Laisser crver le père de ton enfant ?

Naaaaaaaaaan......... Tu sera juste persuadé que tu vas mourir et que je ne peux rien faire alors que tu es déjà tiré d'affaire ^^

Moi aussi je t'aime mon amour <3

Tu es trop cruelle.

C'est parce que je t'aime à la folie <3

Excuse bidon. Je t'aime à la folie et je ne suis pas cruel avec toi. Ni avec personne d'autre d'ailleurs.

Justement je ne suis pas toi <3
Ma cruautée peut-être aussi bien terrible qu'affectueuse en fonction de la personne avec qui je suis ^^

C'est affectueux... Et c'est aussi en prévision d'un jour où je serait vraiment incapable de te sauver...
C'est que j'ai pas envie de te perdre moi...

Commence pas à me faire flipper comme ça s'il te plait....

James....

Tais toi, ne dis rien.